Juste le visuel de Miami qui perds du terrain avec la montée des eaux est bluffant. 

Pour le reste, l'extraction ciblée de souvenirs qui sont visibles en 3 dimensions peut avoir des vertus thérapeutiques ou servir à expliquer des événements et d'aller les modifier au besoin. 

On sent la patte des 2 scénaristes qui ont été impliquées sur Westworld pour une, sur Interstellar pour l'autre. 

Un film à voir au moins 2 fois pour en comprendre toutes les subtilités. 

En Suisse, une petite ville propre en ordre prétends accéder au titre de Ville la plus propre du pays. 

Sublimé par des couleurs acidulées, on suit le parcours de la police des poubelles car, depuis la mise en vigueur des sacs taxés: rien n'échappe à la surveillance, tout écart est sanctionné. 

Même ces sacs sont roses bonbon! Horreur et stupéfaction: un vandale jette à tout va de grands sacs illégalement. La police des poubelles trouve le-LA- coupable mais au lieu de la dénoncer; il devient son ami et tente une rééducation citoyenne. 

Un peu bizarre comme histoire, pas tant le sujet que le traitement, bon vu l'auteur: rien de surprenant! 

Ce qui me surprends plus c'est que ce soit Mélanie Laurent qui en aie fait un film! 

À mon avis il manque quelques ingrédients pour que la recette soit réussie, mais bon; c'est un film qui se regarde. 

Un film sans trop de surprises, pour ne pas dire sans surprises aucune....

Chef et propriétaire d'un restaurant, il bascule du jour au lendemain à cause d'échanges sur Instagram. 

Devenu lunatique pour ses proches, c'est sans avertissements qu'il prends l'avion pour Séoul afin de rencontrer sa correspondante. 

Il passera les 11 premiers jours à errer dans l'aéroport à l'attendre en explorant les lieux tout en postant un tas de messages et de selfies sur #jesuislà

J'ai trouvé cette manière différente de traiter la survie en milieu hostile intéressante. 

Par contre, avec ces 3 excellents acteurs, le manque de profondeur, malgré l'intention manifeste d'en montrer avec cette foi en Dien inébranlable, n'ajoute rien du tout en étant traité superficiellement. 

Je suis un peu restée sur ma faim avec une impression qu'ils ne sont pas allés au bout de leur folie! 

Pourtant, avec Chabat au menu; je m'attendais à mieux. 

Par contre, avec Mon idole l'absurdité est au rendez-vous! 

Entre la folle nullité des émissions téléréalités françaises et la mégalomanie du directeur de la chaîne, il y a un jeune homme tout dévoué à sa tâche qui rêve de briller un jour à l'écran au lieu de chauffer l'assistance.... 

On passe par toute une gamme d'émotion suite aux changements abrupts et inattendus de l'ambiance...

Le tout se termine en dessin animé! 

Il faut s'attendre à tout avec Lelouch! Je me suis laissée prendre au jeu du mélange biographique des acteurs versus ceux qui jouaient un autre rôle. 

On peut dire que ce film est un hommage, satirique, à Johnny et une belle description de la société contemporaine. 

Ah! Que c'est bon de regarder un film où chaque minute nous apporte son lot de surprises, de pure beauté visuelle, une esthétique irréprochable, une humanité paisible, une simplicité ordinaire, des amitiés sincères et tout le contraire avec la cruauté gratuite, l'arriviste assumé, le dégoût de l'autre, et j'en passe! 

J'ai adoré, un film à voir absolument et à revoir aussi! 

Ce film de 1978 a l'air sorti des boules à mites de par sa forme. Le burlesque est très appuyé, un peu exagéré. Les dialogues sont carrément déclamés comme au théâtre. 

Par contre le scénario colle tout à fait à l'actualité du XXI^e siècle! On y voit les petits et les grands spéculateurs se remplir les poches grâce au sucre, particulièrement un pauvre pigeon qui malgré qu'il aie tout perdu, s'accroche à l'espoir que lui fait miroiter celui qui l'a plongé dans tous ses malheurs…… 

PS: Jean Carmet y est formidable! Je ne l'ai pas vu souvent au cinéma, par contre je me souviens très bien de la première fois dans Le Matou. 

J'ai trouvé ce film très rafraîchissant avec son côté balade en nature et vie paisible d'une petite famille dont le père a disparu en forêt. 

Mandaté par une grande compagnie pour retrouver le ou les derniers spécimen de tigre de tasmanie, Martin se retrouve au cœur d'une région sauvage qu'une compagnie forestière -Cascades, pour ne pas la nommer-, entends bien contrôler. 

Il faut avoir presqu'autant de patience que ce chasseur car les plans où il pose ses pièges et autres attrapes sont nombreux. Personnellement, ce fut une grande détente de regarder de film. 

Du côté de Winston, nous sommes. 

Comment un tel bonhomme a repris les commandes de ce pays qui a failli sombrer dans la collaboration avec les fasciste! 

Un portrait attachant de ce grand homme bourru, aux  mœurs décriées à l'époque. J'ai adoré! 

Voilà un film extrêmement bien fait et touchant! À voir en famille ou même à l'école pour ensuite discuter des thèmes de la différence et du harcèlement. 

Bel exemple de film totalement raté! 

Je croyais passer un bon moment de rigolade et de détente; ce fut plutôt d'un ennui mortel! Il n'y a tellement pas de surprises dans ce scénario convenu, je suis tentée de dire que malgré le fait que je trouve cette race de chien affreuse: c'est finalement quand même lui que j'ai trouvé le plus intéressant dans toute cette histoire! 

Enfin, les grilles horaires de pratiquement toutes les chaînes de télé seront purgées de la panoplie sans fin de films de Noël qui parasitent leurs programmation depuis fin octobre!?!!! 

C'est une prouesse de ne pas en avoir vu une seule minute. Par contre, celui-là je l'attendais impatiemment! 

Un bijou! Tout en simplicité naïve, Santa affronte le monde réel pour rapporter des vitamines C afin de guérir ses lutins terrassés par un manque de cette vitamine qui les a foudroyés. 

Il faut voir l'efficacité des lutins qui fabriquent non pas à la chaîne, mais avec amour et précision chacun des jouets. 

Au niveau de l'existence réelle du bonhomme, Chabat oppose la version commercialisée croisée à tous les coins de rues, s'étonne qu'ils soient vêtus de rouge et découvre ce que sont vraiment les enfants!  

Donc; Santa galère pour réunir la grande quantité de vitamines, tout en veillant à ce que ses rennes ne souffrent pas trop de la chaleur et du manque de neige. 

La chute finale, tout en simplicité encore, a eu l'effet que tout bon film de Noël doit avoir: j'en ai pleuré un bon coup tellement c'était beau! 

Alors: celui-là; je suis prête à le voir à chaque année 

Maintenant place aux voeux pour la nouvelle année! 

Après la mort accidentelle de sa femme, Davis se rends compte qu'il ne l'aimais pas tant que ça....qu'en fait elle avait raison de lui reprocher de ne pas être attentif.

Tout ça va changer après sa déconvenue devant le distributeur de friandises de l'hôpital qui refuse de lui donner ses M&M! Il remarque des détails nouveaux et de sa vie neutre et réglée comme du papier à musique il devient rebelle et violent envers les objets récalcitrants. Cette violence lui plaît bien!

À ne pas regarder si vous avez la phobie de vous retrouver au coeur d'une révolte dans un pays d'Asie. Car: c'est précisément ce qui arrive à cette famille américaine qui aspire à une nouvelle vie grâce au nouveau travail du père.

C'était sans compter sur le destin qui allait les faire tomber exactement au moment où lassés de voir les étrangers faire main basse sur leur ressource en eau potable, des rebelles prennent les commandes du pays par la force.

Hélas, la photo du père figure en bonne place sur une banderolle de la Compagnie américaine qui accueille chaleureusement ses nouveaux employés à l'Hôtel.....

À ne pas regarder si vous aspirez à une soirée de détente....

Un bond dans le passé avec ce film sorti en 1996. Du pur bonheur, autant par la brochette d'acteurs que par le sujet qui m'a présenté cet homme extravagant qui fut un visionnaire éclairé et volontaire, quitte à passer une partie de sa vie en prison par intermittence.

Bertrand est un parfait salaud qui ne se prive pas de poignarder ses collègues en manigançant  sournoisement afin d'être dans les petits papiers du patron.

Celà fait des années qu'il néglige sa femme et sa vie de famille au profit de son boulot. Jusqu'au jour où....

On est en au presqu'au milieu des années 1900. Un couple de jeunes artistes peintres danois vit un amour fusionnel quasi parfait.

Leur grande complicité sans tabous les amènes un jour à aller à une réception mondaine malgré qu'Einar en a horreur. Le problème sera contourné quand Gerda propose à son mari d'y aller habillé en femme.

C'est alors que Lili, refoulée depuis l'enfance, fait surface et prendra de plus en plus de place pour ne plus en laisser à Einar.