Premier film de Robert Redford sorti en 1981, on y voit la vie d'une famille américaine qui tente d'avoir une vie "normale" après la mort accidentelle du fils préféré.

Le fils survivant n'arrive pas quant à lui à surmonter tout ça. La peine immense d'avoir vu son frère mourir, la froideur de sa mère qui l'ignore totalement le conduira à l'hôpital psychiatrique pour quelques mois mais rien n'y changera car à son retour: sa famille est toujours aussi disfonctionnelle...

Mon plaisir est toujours immense de retrouver Sutherland, ici dans ses jeunes années. Du coup: son physique m'a rappelé Gaétan Labrèche! Puis: Timothy Hutton que j'ai vu dans la série Américan Crime est ici un tout jeune acteur tout à fait formidable!

Il ne faut pas perdre un instant si on veut arriver à suivre cette histoire! Comme quand on lit un K. Dick quoi!

Si vous croyez que notre époque est stressante: vous allez la trouver d'un calme absolu en regard à celle du film!

À propos de calme; celui de ce film est reposant malgré l'époque où la misère accompagne le génie, la révolte s'accomode bien de la bourgeoisie qui permet de mieux vivre.

C'est ce que reproche Cézanne à son ami de toujours. Excellent film pour en savoir plus sur la vie de Zola et Cézanne.

Ce drame véridique est magnifiquement mis en scène par Eastwood. J'ai lu qu'on lui avait reproché d'avoir repassé trop souvent les séquences du noeud de l'histoire.

Moi, j'en ai eu besoin pour bien comprendre ce qui est arrivé. Ce fut aussi bien pratique pour contrer la mauvaise foi des enquêteurs! Un film magnifique.

Autre film basé sur une histoire vraie du temps de la prohibition aux USA. Le début du film est pas mal violent et j'ai failli de pas aller plus loin. En fait: j'ai repris le visionnement le lendemain et je me suis attachée aux personnages de la famille Bondurant.

Excellent film, qui traite de l'attirance inévitable entre deux inconnus qui se trouvent instantannément âmes soeurs.

La prouesse du scénario est d'enchaîner les délires sexuels oniriques à la réalité où l'homme, -ça vaut la peine de le souligner ces temps....-, résiste avec brio à ce magnétisme qui, -il le sait bien-, le plongerait dans l'enfer de la trahison et de son cortège de mensonges.

"Si on veut qu'une histoire dure toujours: il ne faut pas la commencer...."

Voilà un film qui devient de plus en plus angoissant au fil du visionnement!

Un jeune homme qui travaille pour une entreprise de déménagement a écrit un roman à ses  heures perdues. Refusé par une maison d'édition, il récidive en recopiant un journal intime trouvé lorsqu'il vidait l'appartement d'un homme décédé.

Cette forme de plagiat lui vaut le statut d'auteur adulé par tous pour son originalité!

C'est alors qu'il est happé dans une spirale infernale pour préserver son secret!

Une ode à l'abnégation de Fatah envers sa vache Marguerite qu'il voit primée au Salon de l'agriculture de Paris.

Pour se faire: il lui faudra partir de son petit village algérien avec en main le sésame sous la forme d'une invitation à présenter Marguerite au Salon.

On les suivra dans la campagne française où rencontres et aventures les attendent! L'air de rien: ça fait du bien ce genre de film.

Très bon film inspiré d'une ancienne série télé qui nous replonge dans les années 60 avec brio!

Le suspense et l'humour sont au rendez-vous!

Une histoire fabuleuse où deux êtres doués d'un don de voyance exacerbé vont s'affronter. L'expérience du plus âgé aura le dessus.

Le moment le plus extraordinaire est, à mon avis, celui où le tueur en série s'entretient avec l'agent Cowles par le biais d'une projection sur un mur et pourtant..... quand elle déambule: il la suit des yeux!?!!

J'ai été un peu déçue par ce 2ième volet qui n'arrive pas à la cheville du premier. Je l'ai quand même regardé jusqu'au bout.

Un film assez dur, quoique c'est plus notre imagination qui fait le travail étant donné que le film est basé sur les récits et non sur les images de torture.

Tortures donc, qui ont été commises durant l'Apartheid et qui ont été mis en lumière lors de la Commission Vérité et  Réconciliation en 1996 à 1998.

Ce film est paradoxalement plein de douceur et de violence, d'arrogance et de simplicité, de romantisme et de matérialisme, et j'en passe.

Un petit bijou quoi! À voir absolument!

Pour ma part ce film est un chef-d'oeuvre, tant par le sujet qui m'a captivée, les effets spéciaux, sans parler de la performance de Scarlett Johansson!

J'ai enchaîné avec ce film qui m'a gardée dans le même esprit d'enchantement!

Et pour clore l'année: ce film totalement déjanté!

Je suis toujours émue par cette simplicité candide dont Depardieu est capable, comme dans le rôle Germain presque analphabète parce que pris en grippe par sa mère, ses professeurs, jusqu'à ce qu'il rencontre Marguerite au parc.

Cette comédie m'a bien fait rire, où comment démontrer qu'une seule fois suffit à bouleverser une vie entière, aussi que les apparences peuvent être trompeuses. J'ai bien aimé!

Alors-là: c'est de fous rires en fous rires que j'ai regardé cette excellente comédie. Chapeau à Marilou qui est excellente et se joue de son physique un peu enrobé à l'époque.

Je l'ai revu dans Les reines du ring quelques jours plus tard. Tourné quelques 6 ans après Vilaine, Marilou a perdu beaucoup de poids, au point de se rajouter ensuite une prothèse grossissante pour personnifier Joséphine à l'écran!

Quelle patience, quelle ténacité Walt Disney a eu face à l'auteure de Mary Poppins qui étale sa mauvaise foi aussi énorme que son dédain clairement affiché envers tous ceux qui osent approcher son oeuvre.

Walt arrivera à trouver la faille chez cette dame qui s'adoucira peu à peu.

Il est très intéressant de voir comment sont nées les chansons de ce grand classique qu'est Mary Poppins!