Mon cinéma de décembre- 1

Pour honorer une promesse faite à sa femme qui vient de mourir, Germain va la remplacer dans la préparation d'un spectacle de danse contemporaine qui lui tenait à coeur. 

Ce n'est pas tant le défi de tenir la cadence et de laisser parler son corps que de réussir à cacher cette démarche à ses enfants très envahissants....

Le monde après nous: 

C'est utile d'avoir vu la série Mr.  Robot de Sam Esmail pour bien saisir les subtilités de ce film catastrophe.  

Dans la majorité des commentaires que j'ai lus, les gens sont déçus de la fin... pourtant elle était annoncée depuis le début, moi je l'ai trouvée géniale! 

Vues imprenables sur Venise, trajet en gondoles sur les petits canaux privés, l'ambiance est déjà mystérieuse. Pourtant: le tout se passe en vase clos. 

Poirot sort de sa retraite paisible et devra résoudre les mystères de ces meurtres à contre coeur. Si on le drogue en plus...... 

Je n'aurais assurément pas aimé vivre une telle époque où tout s'achète, en surenchère s'il le faut! 

Le talent peut être réduit à néant par une critique biaisée par l'appât du gain ou par pur jouissance de la polémique ainsi engendrée. 

Le parcours encourageant de Lucien est sauvagement stoppé par des jalousies infantiles. Ces jeux cruels l'obligeront à fuir Paris et ses humiliations publiques. 

J'ai adoré le fait que ce soit Xavier Dolan le narrateur, son rôle très important font de lui le seul vrai ami de Lucien et l'auteur de son histoire que raconte le film. 

Excellente biographie qui nous présente le parcours de Léonard Bernstein, compositeur et chef d'orchestre d'un éternel optimisme. 

Le film est un peu long, surtout qu'au début Bradley a voulu rendre le style des films de l'époque où la musique avait un volume beaucoup plus fort que les dialogues: heureusement que ça ne dure pas trop longtemps!