Les enfants de la terre: j'ai enchaîné les 2 volumes du tome 5qui, malgré plusieurs redites de remise en contexte, un peu trop nombreuses à mon goût, nous montrent l'établissement du jeune couple au sein du peuple de Jondalar.
Je crois que ce qui m'étonne le plus, c'est leur culture du compromis, du consensus au profit du groupe.
Malgré tout, Ayla est reconnue avec tous ses talents exceptionnels. On comprends à la toute fin pourquoi elle a eu le sentiment de retrouver les siens dès qu'elle a vu l'emplacement de la Neuvième Caverne.
Un des aspects qui différencie les peuples depuis la nuit des temps, c'est bien la place qu'occupe les femmes! Le paléoanthropologue Pascal Picq dresse un portrait convainquant de l'évolution en regardant les différences chez des espèces proches de nous.
Surprise, il y a en gros deux types de comportements qui ont toujours cours en cette Journée de la femme 2021!
Je reprendrai la suite avec les deux derniers volumes que je viens de commander. D'ici là: je me régale avec Bussi qui livre une enquête palpitante avec: Maman à tort!
Cette fois-ci, pas de pause entre les 2 volumes du Tome 4 de Les enfants de la terre, soit 976 pages à partager Le grand voyage d'Ayla et Jondalar.
Beaucoup de géographie, de topographie, de biologie et de botaniste depuis leur départ du sud vers le nord et la traversée du grand glacier.
Quelques pauses chez des hôtes bienveillants et un échange enrichissant autant pour les uns que pour les autres.
Il y aura quand même eu un épisode pénible chez une personne diabolique qui persécutait tout le monde, une rencontre avec une bande de voyous malfaisants.
Je les ai laissés à leur arrivée chez le peuple de Jondalar et étrangement.... Ayla a le sentiment que c'est aussi SON peuple d'origine!
Les 2 tomes suivants sont arrivés dans notre boîte aux lettres ce mardi.
Après ma courte pause pour lire une biographie, je replonge avec grand bonheur dans la suite des Enfants de la terre avec le tome 3.
La rencontre avec les Mamutoïs fait le joint avec le Clan qui a accueilli Ayla qui ils y a plusieurs années avait accueilli un voyageur blessé. Ce voyageur est le mamut, soit le chaman des mamutoïs
Ayla trouve en lui un nouveau mentor bienveillant. Elle s'intègre rapidement, ils demeurent méfiants envers elle mais chaque "exploit" dont ils sont témoins lui vaut une grande admiration.
On retrouve toutes les controverses et conflits depuis la nuit des temps puisqu'ils existent encore en 2020! Que ce soit au sein du Clan, du Camp, du Foyer, de la Caverne: ce sont tous des humains qui se débrouillent et évoluent selon leur rythme.
Nos 2 héros nous prouvent que les relations homme-femme étaient parfois complexes tout comme aujourd'hui. Pourtant, pour ce peuple paisible, les unions se font facilement sans heurts.
C'est beau de constater les différentes innovations qui résultent d'échanges et de travaux partagés.
Je tourne la dernière page avec sérénité, sachant que les 2 tomes suivants sont dans ma bibliothèques 😎
D'ici là, je plonge dans une autre biographie et du même coup dans l'univers du foot!
En entreprenant le grand Voyage, quête existentielle de la jeunesse du peuple Zelandonii, on découvre avec eux d'autres peuples, d'autres langages, d'autres coutumes.
En général le bon sens de l'être humain est partagé, sauf en cas de préjugés qui même en ces temps anciens, sont le résultat d'une ignorance collective.
Pendant ce temps, Ayla se débrouille tout en partageant sa vie avec ce qu'on appellera plus tard: des animaux apprivoisés.
La rencontre, -enfin-, avec Jodolan arrive après un bon 2/3 du volume.
On assiste alors au choc culturel de l'incompréhension mutuelle par défaut de pouvoir communiquer efficacement au début, aussi à la place dévolue aux femmes au sein du Clan, alors que pour Jodolan: il a toujours été normal que les femmes soient considérées pour leurs talents tout comme les hommes.
Ensuite, il y a le partage des connaissances, ponctué de beaucoup de points communs.
Au fil du récit, on assiste à plusieurs innovations, jusqu'au camping de villégiature! C'est tellement bien écrit qu'on se prends à croire que c'est réellement arrivé comme ça
Cette oeuvre littéraire m'a été fortement recommandée dès 1981.
Je ne saurais vous expliquer pourquoi je viens seulement d'en débuter la lecture, sinon parce qu'il était à disposition dans l'armoire à livre. Soit 29 ans plus tard, c'est fou: je n'ai aucun souvenir de l'avoir eu à la bibliothèque, encore moins de l'avoir vu circuler en prêt.
Je ne suis jamais tombé dessus quand je parcourais les sites de livres électroniques, pourtant au début, je visais précisément mes choix dans cette catégorie.
Bref: j'en suis juste au quart du premier tome et j'adore! J'ai récupéré aussi le 2ième tome dans l'armoire. Si c'est aussi captivant: j'achèterai le reste de la saga