C'est le tout premier roman noir de Nicolas Feuz que je lis!
Il se joue des anti-climax qui refusent de croire que l'Humanité peut changer quoi que ce soit aux "supposés" dérèglements climatiques avec son tueur en série qui sévit à droite à gauche sous le prétexte d'un simple prénom.....
Dès les premières pages ont est plongés dans l'horreur pour ensuite avoir les détails ayant menés à ces actions radicales.
Le tout sur fond historique- général Guisan-, accident mystérieux et mortel- Creux-du-Van...
Malgré pas moins de 30 bouquins à lire, j'en ai acheté 2 nouveaux la semaine dernière. C'est reparti donc, après avoir abandonné Auster avec regrets.
Je redémarre avec un Suisse qui a fait son nid au sein des auteurs de thrillers romands.
La septième vigne est son 4e roman. La vie paisible au village de Cortaillod dans le canton de Neuchâtel est perturbée par d'étranges manifestations qui divisent la population.
Chacune des étapes du roman se situe autour d'un jour de fête, sauf en ce qui concerne le prologue qui nous ramène en Haute-Bavière en 1940.
Prologue qui est divisé en quelques étapes disséminées dans le déroulement du récit.
Juste avant de croire à une fin heureuse, la dernière partie du prologue nous éclaire et a, pour ma part confirmé une intuition.
La boucle d'un complot amorcé juste avant la chute du IIIe Reich est bouclée de manière totalement bluffante dans les dernières pages!