J'ai déjà mentionné ici le nom de Louis Fréchette, comme étant une des personnalités, sinon LA personnalité qui avait marqué profondément Sarah Bernhardt lors de sa visite à Montréal.
En allant chercher des e-books sur le site de la Bibliothèque électronique du Québec, j'ai pris tout ce qu'il y avait de disponible de ses écrits.
Je me suis donc plongée, avec délectations dans Mémoires intimes.
Que du bonheur, son enfance à Lévis, racontée bien simplement, nous transporte sur les coutumes de l'époque. La situation géographique de Lévis, face à Québec de l'autre côté du fleuve St-Laurent, est aussi une plaque stratégique où se retrouvent les débardeurs ayant descendu le bois des chantiers par la voie des eaux.
C'est très intéressant de faire plus ample connaissance avec ce personnage historique, j'ai déjà enchaîné avec un autre de ses écrits!
De plus, il a éclairé un grand mystère pour moi. Un truc qui me turlupinait depuis des années! Ce type de bonbons blanc strié de rouge, le rond, non pas la canne, était ma friandise préférée que les menthos ont remplacés maintenant.
Selon Fréchette, le nom anglais de ce bonbon est: bull'eye, devenu bourzages en québécois et présenté à moi par un grand ami comme: boursaille!
NB: que j'apprends la chose à 55 ans passées!!!!!