J'ai trouvé cette manière différente de traiter la survie en milieu hostile intéressante. 

Par contre, avec ces 3 excellents acteurs, le manque de profondeur, malgré l'intention manifeste d'en montrer avec cette foi en Dien inébranlable, n'ajoute rien du tout en étant traité superficiellement. 

Je suis un peu restée sur ma faim avec une impression qu'ils ne sont pas allés au bout de leur folie! 

Pourtant, avec Chabat au menu; je m'attendais à mieux. 

Par contre, avec Mon idole l'absurdité est au rendez-vous! 

Entre la folle nullité des émissions téléréalités françaises et la mégalomanie du directeur de la chaîne, il y a un jeune homme tout dévoué à sa tâche qui rêve de briller un jour à l'écran au lieu de chauffer l'assistance.... 

On passe par toute une gamme d'émotion suite aux changements abrupts et inattendus de l'ambiance...

Le tout se termine en dessin animé! 

Il faut s'attendre à tout avec Lelouch! Je me suis laissée prendre au jeu du mélange biographique des acteurs versus ceux qui jouaient un autre rôle. 

On peut dire que ce film est un hommage, satirique, à Johnny et une belle description de la société contemporaine. 

Ah! Que c'est bon de regarder un film où chaque minute nous apporte son lot de surprises, de pure beauté visuelle, une esthétique irréprochable, une humanité paisible, une simplicité ordinaire, des amitiés sincères et tout le contraire avec la cruauté gratuite, l'arriviste assumé, le dégoût de l'autre, et j'en passe! 

J'ai adoré, un film à voir absolument et à revoir aussi! 

Intéressant de voir comment Barnum a fait fi du destin que les nantis lui réservaient. Il est allé chercher des artistes au physique ingrats qui étaient encore plus mis au ban de la société que lui. 

C'est un bel hommage au monde du cirque qui mets le talent en avant, avec respect de celui ou celle qui le détient. 

Je trouve cette adaptation de BD bien réussie! Les costumes affolants et criards, les situations absurdes, beaucoup d'humour et une fidélité à l'univers créé par Goscinny et Tabary.

Youn m'énerve d'habitude mais dans ce rôle: il fait exactement ce qu'il faut pour incarner cet irascible arriviste! 

J'aime toujours les films ou séries qui se passent en Italie, ça me rappelle mes séjours chez mes beaux-parents 

À la faveur d'un bel été, un adolescent dont les parents ont l'esprit ouvert, découvre sa sexualité. 

Très bon film qui démontre comment on peut conditionner un enfant par une discipline de fer, ce qui donne des airs de Daredevil avec ce comptable le jour et redresseur de torts la nuit….

J'ai tellement regardé souvent la version des années 80, fascinée par le concept humain/machine! 

Je n'ai pas été déçue par cette version qui intègre la technologie actuelle et du futur! Toujours avec l'humain à la base de cet excellent scénario. 

Oulalala! Quel personnage désagréable pour son entourage, particulièrement pour ses collègues, car j'ai du mal à les qualifier de collaborateurs! 

Je suis bien fière de n'avoir jamais acheté d'appareils de ces marques tout en ayant hérité d'un téléphone portable et une tablette de mon chéri: je connais donc le produit. Fassbender est magnifiquement crédible dans ce rôle.

Dans la foulée du 50e anniversaire de la conquête de la lune, ce film nous montre la suite. Des hommes dont le métier, la vie, le but sont consacrés à faire des sorties dans l'espace afin de tester et régler les avancements technologiques.

On peut vraiment les qualifier de héros, surtout quand on voit à quoi ils doivent croire en bricolant leur bouée de sauvetage! 

Beaucoup d'humanité dans ce film où la parisienne BCBG découvre la grande complicité de ces femmes, tant au travail que dans leurs loisirs.

Comme toujours la froideur de l'Administration demande des comportements inhumains que toute la population tentera d'inverser.

Hélas on y voit aussi des manières de résister, de protester qui je l'espère feront vite partie du passé, parce que brûler des pneus, un cortège de tracteurs hyper polluants: ça ne devrait plus être utilisé comme moyens de pression 

Leurs chansons me sont familières, pour les avoir entendues à leur parution. Ne me demandez pas pourquoi: ce groupe n'a jamais fait partie de ma discothèque, je ne me suis jamais intéressé à Morrison non plus. Ni de son vivant, ni après sa mort. 

Je suis évidemment handicapée, n'ayant pas accès à la teneur de ses textes: je suis nulle en anglais, sauf que je le suis aussi en ce qui concerne les autres auteurs anglophones donc: ça n'a jamais cliqué entre lui et moi, entre les Doors et moi. J'avoue avoir pas mal zappé durant la dernière partie du film….

On connais l'histoire, il y a eu plusieurs films sur le sujet; tellement qu'au début je me demandais si je ne l'avais pas déjà vu. Mais non.

C'est une très belle version de cette tragédie humaine, je me demande toujours comment c'est possible de traiter les gens comme ça. Je l'écrit au présent car ça existe encore ce mépris de l'autre: y a qu'à lire les twitts d'un célèbre crétin ces derniers temps. 

Bref: un film à voir pour bien s'imprégner du courage qu'il a fallu à tous ces gens portés par le charismatique Luther King.

Quelle magistrale démonstration de la rencontre entre deux civilisations qui n'est pas polluée par les clichés habituels.

Moi qui suis une inconditionnelle de SF depuis l'adolescence: j'ai été bluffée par les chemins que Villeneuve a pris pour conclure son histoire. C'est tout simplement magistral!

Je pense que Villeneuve est vraiment fan des hélicoptères tellement dans ses film on les voient sous tous les angles, y compris en ombre sur le paysage.

Le visuel des vaisseaux et de ses occupants est particulièrement réussi.

Je suis étonnée d'avoir reconnu Franck Schorpion qui joue le docteur de la base, tellement on ne le voit jamais clairement. C'est probablement parce que je viens de le voir dans un épisodes du téléroman Mensonges.

Il me tarde de voir le Blade runner de Denis: d'ici Noël j'espère!