Enfin! N'étant même pas disponible encore sur Disney+, j'ai profité de sa diffusion sur la RTS pour l'enregistrer. 😀

Des mois que je l'attendais fébrilement, je n'ai pas été déçue! 

C'est bon de revoir tous ces méchants que le multivers a permis de réunir, ainsi que les 2 spiderman précédents! 

À voir et à revoir! 

C'est la belle brochette d'acteurs qui m'a donné envie de regarder ce film avant d'en savoir le sujet....

C'est tellement bien fait que ces faits historiques affreusement dramatiques n'ont pas fait ombrage dans cette périodes de festivités! 

C'est bien joli tous ces films de Noël mais.... il est aussi nécessaire de se rappeler ces horreurs commises au nom de diktats d'envahisseurs criminels sans aucune morale.

À voir, avec une Charlotte Le Bon plus qu'émouvante! 

Avec cette biographie j'ai appris beaucoup de choses ne connaissant pas vraiment Aretha Franklin. Même sa musique m'est étrangère, sauf Freedom et une ou deux autres. 

N'empêche que c'est intéressant de connaître mieux le destin qui fut le sien. Elle a reçu plusieurs décorations prestigieuses, dont une pour avoir soutenu les actions du pasteur Martin Luther King. 

Excellent film québécois sur le quotidien d'une famille de braconniers qui en a fait un vrai métier à côté de leur vie normale de garagistes au Témiscouata au Québec. 

Un des fils voudrait bien que cette tradition familiale cesse, quand l'autre fils n'arrête pas de faire des vagues avec ses frasques de saoulon. 

L'arrivée d'une nouvelle animatrice de radio change la donne dans la dynamique familiale; ils seront surpris à quel point...... 

La famille Holmes presqu'au complet! 

C'est très rafraîchissant de faire connaissance avec la jeune Enola, élevée à l'écart du Monde par sa mère qui se révèlera en féministe de la première heure en Angleterre. Je crois qu'on les appelaient les sufragettes. 

De son apprentissage de la vie, Enola sera à même de se débrouiller toute seule et pourquoi pas de marcher sur les traces de son célèbre grand frère Sherlok? 

Sorti il y a moins d'une année, ce huis-clos est tellement prenant que j'ai fractionné mon visionnement. 

D'une part pour ne rien perdre de l'intensité des dialogues, de la beauté du décor en noir et blanc. Puis, pour voir comment s'en sort ce couple qui ne franchit jamais la ligne menant aux violences physiques irréparables....

Parce que c'est un film que j'ai enregistré, donc: limité dans le temps pour en profiter; j'ai failli le louper! Tout simplement parce que ce n'est pas le choix qui manque avec mes deux abonnements payants et ce qui est pro-  posé en enregistrement. 

Bref: c'est après avoir commencé à regarder l'excellent documentaire sur l'impact des Beatles sur le Monde que j'ai senti l'urgence de regarder ce film. Film que j'ai adoré! 

Les meilleurs souvenirs de ces 3 enfants séparés après le divorce de leurs parents, c'était les vacances estivales chez Mamie. 

Après des retrouvailles lors des funérailles de leur grand-père; ils tentent un rapprochement.  Un film touchant, plein de tendresse et de douceur.

Cet opus de la franchise des Anges est un très bon divertissement. 

Le début du film a plutôt l'air destiné à un très jeune public parce que bon… on est quand même dans un film au sujet des Avengers! 

On est pourtant pratiquement sur le même pied que Peter qui en fait des tonnes pour intégrer l'équipe de super héros. Nous aussi on ronge notre frein et puis hop: Spiderman prends de gros risques pour affronter à lui tout seul cette bande de contrebandiers d'armes hybrides à destruction massive…. À partir de là, la magie opère 

Comment un accident de la route, somme toute banal, génère une spirale infernale qui va leur pourrir la vie et ce sera la pire journée de leur vie à tous les deux! 

Tous les coups bas sont permis! 

Alors là! Ce film m'a pris aux tripes pour plusieurs raisons. Tout d'abord: la précarité des habitants pour qui le moindre bout de charbon volé et vendu peut leur valoir du lait ou autre chose à manger. Les enfants doivent apprendre très jeune à se débrouiller pour participer à cette survie familiale. 

Ensuite, la transition entre le petit village perdu dans la campagne et la foule compacte où le petit Saroo se retrouve perdu, seul parmi la cohue qui malgré qu'elle soit à l'écran m'étouffe littéralement. 

Du haut de ses 5 ans, Saroo est confronté à plein d'enfants comme lui qui sont seuls et tentent de survivre dans ce monde encombré. Il finira à l'orphelinat qui chapeaute des adoptions, Saroo se retrouve en Australie chez un couple charmant, il fera sa vie avec eux et deviendra un jeune homme prometteur. 

C'est plus tard, lors de ses études qu'il rencontrera d'autres indiens qui comme lui ont été adoptés. Il deviendra vital pour lui de retrouver son village d'origine, ainsi que sa famille. C'est là que la troisième raison de mon émoi arrive car bien que n'ayant pas vécu avec ma famille, élevée - et non adoptée - par un oncle et une tante: j'ai toujours su quel privilège c'était de connaître et côtoyer régulièrement mes frères et sœurs, ainsi que mon père biologique. 

Une mention toute spéciale au petit Sunny Pawar qui porte le film sur 85% du temps