À la faveur de l'été, il y a des semaines thématiques sur certains acteurs. J'en profite pour voir ce film qui était passé sous mon radar à l'époque.
Cette comédie loufoque est très agréable à regarder.
Ensuite, il y avait un documentaire très intéressant sur Nicholson: Mr. Jack, docteur Nicholson.
Un peu long, je l'ai donc regardé en deux parties. Un snipper de l'armée américaine est rattrapé par son passé, on essaie de le tuer pour effacer toute preuve de la cupidité assassine de la Cie pour laquelle ils étaient embauchés en parallèle à leur mission.
Ouf! Ce film sur la plus grande catastrophe écologique causée par une plate-forme pétrolière en 2010 dans le Golfe du Mexique, démontre comment la négligence humaine encouragée par l'appât du gain des pétroliers BP a anéanti les efforts de tous ces professionnels de la branche travaillant avec sérieux et surtout au fait de leurs responsabilités.
Une belle réussite que ce film montrant le retour de l'équipe qui avait eu le malheur d'être remplacée à la dernière minute en 1958 et n'avaient donc pas pu aller dans l'espace comme prévu.
Ils sont mobilisés pour une expédition de sauvetage, afin de détourner le satellite de "communication" russe qui menace de s'écraser sur la Terre.
Très bon film qui nous montre Holmes à la fin de sa vie. Un poil Alzheimer, c'est en écrivant une histoire pour le fils de sa gouvernante qu'il se rends compte qu'il a oublié l'importante raison qui a fait qu'il s'est volontairement coupé du monde depuis nombre d'années.
J'aime plus ou moins les films inspirés de catastrophes réellement arrivées. L'histoire de cette famille est tellement bien rendue à l'écran qu'on retient surtout l'instinct de survie et la solidarité entre les survivants pris en charge par ceux qui font tout pour les soigner et tenter de réunir les familles dont les membres sont éparpillés sur tout le territoire dévasté par le tsunami.
J'avoue avoir été déçue par la molesse du scénario, c'était pourtant bien parti.
Les différents aller-retour dans le passé ne sont pas toujours vraiment justifiés, ils servent surtout à nous mélanger. C'est donc un film qui se regarde bien mais sans plus.
Ce film, dans sa version restaurée, dure près de 3 heures C'est bien installée au balcon que j'en ai vu la majeure partie. L'air de rien: j'étais bien concentrée à reconnaitre les différents acteurs dans leurs apparences de 1998.
Il faut dire que l'action est facile à suivre: des soldats qui sont envoyés directement dans une fusillade où les japonais sont supérieurs et font boucherie.
Malick essaie ici de nous montrer ces hommes tout en insérant ici et là une certaine poésie de la beauté du Monde...
J'ai été agréablement surprise par ce film d'action très bien ficelé. Malgré un sujet maintes fois traité; il y a beaucoup de belles surprises.
Catégorie nostalgie: Des souris et des hommes, édition de 1992. Version bien intéressante malgré que souvent, il me revenait en mémoire l'interprétation de Jacques Godin et d'Hubert Loiselle dans celle du téléfilm de Paul Blouin que j'ai vue en 71
Un film qui dès les premières minutes fait froid dans le dos. Ayant déjà vu un autre film traitant de la rafle du Val d'Hiv; j'ai cru que ça allait trop y ressembler mais que nenni!
On suit l'histoire de Sarah à partir du jour de la rafle jusqu'à la rencontre de son fils et de Julie, qui découvrira l'horreur dans le passé de sa propre belle-famille, lors de ses recherches sur les enfants qui ne sont pas répertoriés comme décédés dans les Camps....
On retrouve nos retraités mis au défi, au prix de leur vie, de mettre à jour un complot dont ils ignorent tout! Palpitant!
Histoire rocambolesque dont j'attendais plus de fou rire. N'empêche qu'il y a de belles trouvailles originales. À voir.
Pour des fou rires on peut toujours compter sur Alain Chabat! Par contre c'est bien la première fois que Sandrine Kimberlain me fait rire à ce point! Bon film pour passer un excellent moment de détente.
C'est bien installée au balcon que j'en ai vu la majeure partie. L'air de rien: j'étais bien concentrée à reconnaitre les différents acteurs dans leurs apparences de 1998.
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